"Nous ne pouvons pas taire ce que nous avons vu et entendu."
Les premiers démêlés des Apôtres avec les autorités d'alors résonnent curieusement à nos oreilles d'aujourd'hui: et comme constat de la situation, et comme enseignements sur les tenants et aboutissants, et sur la conduite à tenir en tant que chrétiens.
Les faits sont avérés, et connus. On empêche cependant qu'on en parle, et on ne recule pas devant la menace. Le plus effrayant, peut-être, c'est que les autorités d'alors sont obligées de tenir compte de l'opinion publique: alors que de nos jours, l'ingénierie sociale semble avoir réglé ce problème.
Ceci dit: les Apôtres sont toujours là en leurs successeurs, tandis que les autorités d'alors ont été englouties, comme toutes les suivantes et les prochaines assurément. Scimus Christum surrexisse a mortuis vere: Tu nobis victor Rex miserere!
Le mot de mon ami, le curé du Puy, avec son aimable autorisation
NEUVAINE À LA MISÉRICORDE DIVINE
Neuvième jour: aujourd'hui, amène-moi les âmes froides et indifférentes.
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