"IESUS NAZARENUS REX IUDAEORUM"
Jésus de Nazareth, le Roi des Juifs. L'inscription portant sa condamnation était rédigée en hébreu, en latin et en grec. On ne peut imaginer qu'en cet instant suprême, ce ne soit pas la vérité: je suis né, je suis venu dans le monde pour une seule chose, rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité, écoute ma voix. Or le roi d'Israël c'est le Seigneur Dieu, celui-là même que les grands prêtres renient devant Pilate: nous n'avons pas d'autre roi que l'empereur. C'est l'apostasie souveraine, par le seul peuple de toute l'Antiquité qui connût le vrai Dieu.
On comprend la ruine spirituelle. Mais que dire alors de nous, au moment où dans un monde sécularisé qui semble inexorablement se refermer, la royauté sociale de Jésus Christ semble disparaître de tous les radars? Combien de fois le mot "roi" est-il employé dans la Passion selon saint Jean? Il ne pouvait mieux proclamer la divinité du Christ, telle qu'il l'avait lui-même prophétisé: lorsque j'aurai été élevé de terre, j'attirerai tout à moi.
Il nous faut donc persévérer dans la foi, pour voir bientôt son triomphe sur les ténèbres de notre temps.
Le mot de mon ami, le curé du Puy, avec son aimable autorisation
NEUVAINE A LA MISÉRICORDE DIVINE
Premier jour: pour l'humanité tout entière et particulièrement les pécheurs.
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