"Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin.."

Nous n'insisterons pas sur la dénonciation cinglante et salutaire du Seigneur Jésus, contre ce qui ruine dans beaucoup de pays le service de santé publique: ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin.. mais les malades qui ont besoin des médecins.

Nous nous arrêterons plutôt sur la coïncidence de la fête de saint Matthieu, avec la fête de saint Maurice demain, patron de l'Infanterie, avec une parole chère à l'âme du Pape François: miserando et eligendo; il lui fit miséricorde en l'appelant, ou il l'appela en lui faisant miséricorde.

Le mot de mon ami, le curé du Puy, avec son aimable autorisation

 

"Femme, voici ton fils; voici ta Mère."

 La compassion de la Vierge Marie, aux profondeurs du mystère de la Rédemption, nous est comme partagée en notre temps, par la dévotion au Coeur immaculé de Marie: voulez-vous faire des prières et offrir des sacrifices pour la conversion des pauvres pécheurs?

Le mot de mon ami, le curé du Puy, avec son aimable autorisation

 

"Nul n'est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel.."

L'ambiguité de la Croix, et au plus profond la coïncidence entre le mystère d'iniquité et le mystère de la piété, mise en présence effrayante et fascinante. Or, dans l'Effusion trinitaire manifestée dans la sainte Humanité de Jésus à la  Croix, tous les péchés sont anéantis. Toute puissance objective du mystère de la Rédemption qui soutient la conversion de chacun: "que tout l'univers entende, l'appel qui vient de la Croix!"

Le mot de mon ami, le curé du Puy, avec son aimable autorisation

 

"Et il passa toute la nuit à prier Dieu."

 La prière de Jésus est bouleversante. Pour entrer dans cet abîme, rien ne vaut le dogme de Chalcédoine: la nature divine et la nature humaine sont unies dans la Personne du Christ, sans changement, sans confusion, sans division et sans séparation. 

Si la prière, dans la nature divine, n'est pas autre chose que sa Filiation même, elle ne court-circuite pas sa prière en tant qu'homme: celle-ci en est l'expression parfaite, consécration du Fils à son Père, cette fois dans son Corps et son Âme.

Or, il nous permet d'entrer dans quelque chose de sa prière, en nous enseignant le Notre Père; surtout en actualisant perpétuellement sur l'autel de son Sacrifice eucharistique son intercession ininterrompue du Ciel. Il se présente au Père, revêtu de son propre Sang et poussé par l'Esprit Eternel : me voici, moi et les enfants que tu m'as donnés, ceux qu'il ne rougit pas d'appeler ses frères!

Le mot de mon ami, le curé du Puy, avec son aimable autorisation